Le court-métrage, Woman with no name, propose une relecture moderne du western. Une musique inoubliable, un héros sombre et avare en paroles, un duel au milieu de la grande rue ou encore une bagarre de saloon qui tourne mal… Chacun possède en lui le souvenir d’un western, par amour du genre ou au hasard d’une rediffusion.

Woman with no name c’est la volonté de revisiter un genre mythique, au travers de nouveaux sentiers. Mélangeant les époques, ce western prend place dans un présent fictif à la French Touch discrète.

Sur une idée originale de Brice Durot, Renaud Lissowski et Fabio Soares, et réalisé par ce dernier, le film s’appuie sur un casting riche en caractère :

Bernie Bonvoisin (Les Démons de Jesus, Les Grandes Bouches),
Arben Bajraktaraj (Taken, Harry Potter),
Brigitte Lo Cicero (L’exercice de l’Etat, Une chambre à Hollywood),
et pour la première fois à l’écran, l’artiste/tatoueuse Laura Satana en rôle titre, se donnent la réplique autour de 4 actes à l’atmosphère sombre et poussiéreuse.

Laura Satana / Woman with no name
Artiste/tatoueuse internationale, personnage haut en couleurs, Laura Satana incarne la femme sans nom.
Peu loquace, cette femme d’origine latine ne se présente jamais. Hors la loi en quête de vengeance, elle a été doublée par ses associés lors d’un braquage. Tenace, mesurée dans ses gestes et inébranlable, son dessein l’anime d’une détermination sans faille : retrouver ses anciens partenaires et régler quelques comptes.